1. Als Spiegelung des finanziellen Freibeuter-Zeitgeistes der damals gängig war, erklärte der Internationale Währungsfonds 2006, „die Streuung des Kreditrisikos durch Banken auf eine breitere und vielfältigere Investorengruppe... hat dazu beigetragen, dass das Bankenwesen und das Finanzsystem insgesamt widerstandsfähiger geworden sind...“. Daraus folgt, „dass Geschäftsbanken gegenüber Schocks nicht so anfällig sind.“

Reflétant l’état d’esprit de flibustier qui prévalait à l’époque, le Fonds monétaire international a déclaré en 2006 que « la dispersion du risque du crédit par les banques à d’autres groupes d’investisseurs plus larges et diversifiés...a contribué à rendre les systèmes bancaire et financier mondiaux plus résistants... ». En conséquence, « les banques de dépôt pourraient être moins vulnérables...aux chocs ».

2. Seine poetische Kreativität steigt blitzschnell und das weil er durchschnittlich zwei bis drei Gedichte pro Tag schreibt und die Pflastersteine für mehr als vierhundert geschriebene Seiten in einem Quartal bilden: er Tau der Konstellationen (La Rosée des constellations) (1991), Die Aufklärungen (Les Transfigurations) (1992), Der Kuß des Erzengels (Le Baiser de l’archange) (1993), Das Frösteln der Aurora (Le Frisson de l’aurore) (1993), Die Spiegelung des Unendlichen (Les Miroitements de l’Infini) (1994), Der Mensch mit der Sturmsohlen (L’Homme aux semelles de tempête) (1995), Begegnung mit dem Sein (Rencontre avec l’Être) (1995); auch die post-mortem Veröffentlichungen wie: der Rosengarten mit der Grasmücke (La Roseraie des fauvettes) (1997), Die ideale Metamorphose (L’Idéale Métamorphose) (1998), Das Lächeln der Sterne (Le Sourire de l’Astre) (1998), Das Refrain des Absoluten'(Le Refrain de l’Absolu) (2000).

Sa créativité poétique augmente vertigineusement et pour cause, avec l'écriture de deux à trois poèmes par jour en moyenne et des pavés pour certains de plus de quatre cents pages écrits en un trimestre: La Rosée des constellations (1991), Les Transfigurations (1992), Le Baiser de l’archange (1993), Le Frisson de l’aurore (1993), Les Miroitements de l’infini (1994), L’Homme aux semelles de tempête (1995), Rencontre avec l’Être (1995); et publications post-mortem avec La Roseraie des fauvettes (1997), L’idéale Métamorphose (1998), Le Sourire de l’Astre (1998), Le Refrain de l’Absolu (2000).